The Barulians: “Here We Go!” (CD) (REVIEWS)

(GC060) The Bardulians - Here We Go (CD)

The Bardulians – “Here we go !”, CD, Digital – Green Cookie Rds

Bertrand Tappaz, Voix De Garage Grenoble, 10-feb-2019

Groovy Baby !
Si vous êtes à la recherche d’un disque pour créer une ambiance à la Austin Powers alors ce mini album (7titres) du groupe de Bilbao saura vous régaler ! Entre musique pour Party, Bande Originale pour film d’espionnage sixties imaginaire, leur cocktail smooth à base de Jazz Funk Soul & Rhythm’n’Blues fait un malheur !
Orgue et saxophone, mais utilisés de façon purement élégante et légère, viennent driver les titres ici présent, qui bénéficient chacun d’une vraie personnalité.
Super-class !
Je ne suis pas le grand connaisseur de ce genre de disque ni le plus gros fan de disques totalement instrumentaux, mais je dois dire que celui-ci fait la distance idéale et que l’attention portée à chaque morceaux lui donne une pertinence et un intérêt qui ne faiblit jamais, alors que grandit l’envie de le réécouter !

———————————————————————————————————————–

airplay @ Voix De Garage, No.523, Radio Campus Grenoble 13-feb-2019, 19:30

The Bardulians – “Here we go !”, CD, Digital – Green Cookie Rds

———————————————————————————————————————–

Musica Inclasificable (15 jan 2019)

Mientras que la voz es un recurso con el que la mayoría de los músicos buscan transmitir un mensaje a través de su canciones, la historia ha mostrado que no siempre es necesaria. Con el apoyo de otros elementos también es posible obtener los mismos resultados y la ventaja es que no existen barreras entre idiomas.
De esta forma, existe el camino de la música instrumental. Sus representantes son variados en todo el mundo y ahora se suma el nombre de The Bardulians, quinteto vasco que ha logrado llamar la atención por su refinado sonido.
El conjunto formado en el 2012 en Bilbao está conformado por Lando Stone (bajo), Xavier Urrutikoetxea (batería), Iskander Vesga (saxofón), Alfredo (guitarra) y Joseba Negro (hammond). La distintiva formación es la encargada de ofrecer un rico sonido que se alimenta del lounge, exótica, space pop, jazz, funk, soul y ligeros toques de música surf.
Al escuchar su primer material, editado en CD por el sello griego Green Cookie Records y producido por Mike Maricondalo primero que llega a la mente son nombres de leyendas como Les Baxter y Martin Denny, aunque también tiene parecido con proyectos actuales como The Link QuartetThe Gentlemen’s Agreements.
Dicho de otra forma, el estilo de combo europeo encaja a la perfección con la música que habitualmente se escucha en el programa de El Muñecón. Son sonidos elegantes que recuerdan la época de las mujeres con elaborados peinados y cuando los hombres se preocupaban por su vestimenta.
A lo largo de siete piezas, The Bardulians demuestra que el poder de la música es tan grande que no requiere de voz para comunicarse. Escuchar el material es como viajar varias década en el tiempo y recordar cuando la elegancia imperaba entre la juventud.

———————————————————————————————————————–

The Sunday Experience (3 jan 2019)

Staying with Green Cookie and indeed the Bardulians, these dudes recently dropped a killer set going by the name ‘here we go’ that had the label lushly gushing citing references as wide and far as Otis Redding, Gil Scott Heron and Sly and the Family Stone, all of which weren’t to varying degrees, lost on us. However, we suggest you fast forward to the parting cut ‘Atxabiribil Sunset’, an end of the evening slice of arresting lounge jazz acutely shimmered and seasoned in a sultry exotica trimming that’s teased with a sea faring lazy eyed lilt, quite exquisite by these ears.

Satan’s Pilgrims: “At Home With” (LP/CD) (REVIEWS)

Satan’s Pilgrims “At Home With” (CD/LP, Green Cookie records, 2018, GC057)
Voic De Garage Grenoble (4 feb 2019)

Encore une superbe sortie sur ce label grec spécialisé dans la Surf du monde entier. Cette fois-ci ils redonnent vie, en version remasterisée, au 1er album des Satan’s Pilgrims initialement publié par Empty Rds en 1994 (putain si longtemps que ça).
J’avoue avoir toujours eu un faible pour ce groupe et la réécoute de ce 1er LP me rappel pourquoi !
Venant de Portland (dans l’Oregon) et proposant une formule à 3 guitares, un bassiste et un batteur on pourrait s’attendre à un de ces groupes qui allume fort au niveau du rythme et ferraille un maximum au niveau des guitares (genre fans de Metal s’en prenant à la Surf) et il n’en est rien!
Les Satan’s Pilgrims font parti de ces groupes qui au début des 90’s ont été rechercher leur inspirations dans la pure Surf Music des Sixties (et ce avant la mode lancé par Pulp Fiction) en y adjuvant des côté innocents purement 50’s, et un petit côté bande originale de film d’horreur façon Hammer dans certaines ambiances de leurs compositions.
De plus les Satan’s Pilgrims sonnent toujours comme un véritable groupe qui interprête d’excellents titres (compositions et reprises, ici : The Bel-Airs, Eddie & The Showmen, TheRondels/The Challengers) et non pas le backing band d’un ‘surdoué’ prétentieux comme ce fut le cas de trop d’autres groupes par la suite.
Au final voici un groupe qui dès son 1er album avait mit la barre très haute, et posé les base de son propre style. C’était décidément une brillante idée de le réédité !

Satan’s Pilgrims “At Home With” (CD/LP, Green Cookie records, 2018, GC057)
Frantic Franky, Boppin’ Around magazine (27.09.2018)

Geremasterde heruitgave van het debuut uit 1994 op eMpTy Records van de Amerikaanse instrumentale band Satan’s Pilgrims die bestond van 1992 tot 2000 en opnieuw bestaat sinds 2009. Na At Home With volgden nog een stuk of acht albums met veel horrorsurf en de groep zou ook psychedelische fuzz gaan maken maar dit debuut was traditionele surf met vlijmscherpe gitaren door een reverb tank gejaagd en drums als mitrailleurvuur: ietsje harder en sneller als in de jaren ’60, maar nog geen garagepunk.
Je merkt het ook aan de klassieke covers: Squad Car (het nummer met de politiesirene) en Mr Moto van The Bel-Airs, Movin’ van The Astronauts met dat opzij-opzij-opzij-wij-hebben-ongelofelijke-haast-rifje, en eigenlijk ook de onbekende opener Satan’s Theme, ondanks de titel geen horror maar traditionele surf en verrassend genoeg ondanks die titel reeds daterend van 1961 van een groep genaamd The Rondels.
Over Mr Moto gesproken, dat was een reeks van acht detective films uit eind jaren ’30 met acteur Peter Lorre, en laat een van de eigen nummers hier nu Peter Lorre getiteld zijn, het enige nummer met een discreet streepje Vox Jaguar orgel dat een spookachtig effect geeft.
Que Honda bevat de uptempo drive van een brommertje (maar geen motorgeluiden), in de rustige melodieuze afsluiter The Lonely Pilgrim in Pulp Fiction stijl slaan de golven stuk op de branding, en de cover van Music To Watch Girls By valt technisch bekeken onder de easy tune. Ik vond dit in 1994 best te pruimen en vind dat nu nog steeds. Nederlandse verdeling via Clear-Spot.nl, de CD is gelimiteerd op 500 stuks en er zijn 150 LP’s geperst op rood vinyl en 350 op ordinair zwart vinyl (GC057LP).

Les Agamemnonz: “Au Revoir” (LP) & “De A à Z” (CD) (REVIEWS)

Les Agamemnonz surf music France photo taken @ Athens Greece Green Cookie records

Les Agamemnonz “De A à Z” (CD, Green Cookie records, GC051, 2015)
Voix De Garage Grenoble (28 jan 2019)

En fait ce quatuor de Surf instru à sortit en 12’’ son album ‘Au Revoir’ et le CD que voici ‘De A à Z’ regroupe cet album et leur 1er EP.
Comme le nom du groupe l’indique ils jouent beaucoup avec l’imagerie de la Grèce antique… ce qui explique que ce soit une co-production avec le label grec Green Cookie ? Pas uniquement c’est bien entendu la qualité du disque qui fait la différence.
Je ne suis pas un accro de la Surf instru vu qu’à mes oreilles les albums sont souvent monotones et répétitifs… Mais pas avec les Agamemnonz !
Grâce au soin méticuleux apporté dans le son (les sons / sonorités intégrées dans les titres), effets, pré ampli… Et aux rythmes (parfois on frise la polyrythmie, mais sans le côté lourdingue et démonstratif), qui intègrent des éléments chaloupés de Bossa Nova au cœur de titres typiquement Surf. Ce mélange d’Exotica et de tradition instru et vraiment terrible.
On entend ici aussi des éléments mélodiques de bandes originales de films (existants ou imaginaires) voir de musique classique qui sont un enrichissement formidable.
La diversité des tempos : du traditionnel staccato au quasi lamentatif en passant par tout un tas de déclinaisons de mid-tempo, avec cependant une préférence pour les mouvements enlevés plus typiquement Surf.
Un vrai disque de digger et de geek du son. On sent chez les Agamemnonz une grosse culture musicale mais réellement digérée et pas du tout m’a tu vu. La virtuosité instrumental n’est jamais bavarde non plus. Bref tous ces éléments assemblés concours à faire de ce disque un must de la scène Surf actuelle !

Les Agamemnonz “De A à Z” (CD, Green Cookie records, GC051, 2015)
Patrick Bruneel, Gonzo Circus (16 March 2016)

André Pasquet (drums), bassist Lucas Morin en de gitaristen Benjamin Bonaventure en Simon Ripoll-Hurier (de eerste voor de melodie, de tweede voor het ritme) hebben een grote voorliefde voor surfmuziek met elkaar gemeen. Het genre werd indertijd gedefinieerd door onder meer The Ventures, The Challengers, The Astronauts en bij het grote publiek uiteraard ook The Shadows. Het zijn de grote voorbeelden voor dit Franse kwartet, al doen ze er alles aan om een eigen geluid te creëren. En het moet gezegd, ze slagen behoorlijk goed in hun opzet. Les Agamemnonz noemen zichzelf een band die als medicijn kan dienen tegen elke vorm van depressie of droefenis. Of als een antidotum tegen de koude winterdagen die eraan staan te komen. Vrolijk houden ze het in elk geval, of toch meestal. In ‘Yürüyüşü’ menen we een melancholische ondertoon te ontwaren. Ook ‘À Palavas-Les-Flots’ ontsnapt er niet helemaal aan, met zijn typische Ennio Morricone-sound. Imiteren doet het kwartet geen enkel moment. Zelfs niet als we de cd integraal na elkaar beluisteren. Dat schrijven we zo omdat de cd het nieuwe album ‘Au Revoir’ (negen nummers) bevat, gevolgd door het naar zichzelf genoemde debuut (acht nummers) en nog één bonusnummer erbovenop. De vinylversie bevat slechts het nieuwste werk, waardoor we voor één keer beter af zijn met de cd. Extra pluspunt krijgt de band omdat er geen spoor te bekennen is van de obligate covers die zo vaak opduiken in dit genre. Op het debuut klinkt het kwartet net iets ruiger en wilder, terwijl de nieuwe songs verfijnder klinken. Zo krijgen we een mooi overzicht van een band die een oud genre van een fris kleedje voorziet.

Les Agamemnonz “De A à Z” (CD, Green Cookie records, GC051, 2015)
Core and Co webzine (30 January 2016) 7.5/10

Bah alors mon gars, t’as une mine toute triste avec tes cernes de Panda !
Faut dire que tu portes des gros pulls à col irlandais qui grattent pour ne pas être plus enrhumé que tu ne l’aies déjà.
Sans compter que tu ne bois que du bouillon de poule, vu il n’y a que ça qui passe depuis ta 3ème gastro.
En plus t’écoutes du Black metal norvégien pendant tes soirées. Comme il fait nuit à partir de 15h, tu en viens à serrer les dents pour ne pas fondre en larmes à la question rhétorique : “ça va ?”.
Tu sais quoi ? Docteur Tookie est là pour toi. N’étant ni fan de la médication chimique, ni de la médication naturelle (ouais, le chichon, moi, j’aime pas), ne souhaitant pas te voir dilapider ton P.E.L chez un psy inefficace, je te conseille Les Agamemnonz.
Cheveux trop longs pour l’armée, lunettes noires vissées sur le pif, chemise hawaïenne déboutonnée, short coloré. Voilà qui te changera de la panoplie noire 100% polyester de ta garde-robe.
Sinon j’te conseille le costume d’amerloque lambda de Tarantino, qui, s’il connaissait ce groupe, trémousserait son cul plat venu du Tennessee sur cet album.
Beh ouais mon gars, tout ça parce que j’te parle d’un album de surf-rock.
En causer alors que je n’en écoute jamais n’est pas chose aisée, mais j’peux toujours tenter de te motiver pour cliquer sur le lecteur juste à côté.
Si ce truc marche mieux qu’un anti-dépresseur, c’est sans doute parce que le surf rock, genre que l’on pense toujours dépassé, n’a jamais été aussi bien identifié. Il parle même aux mecs qui ne connaissent rien à cette musique.
Résultat, même moi j’me sens capable de te parler des Beach boys et de Dick Dale…qui ont peut-être squattés les platines des rouennais.
Bon, difficile de m’aventurer un peu plus dans le style, mais si t’as d’autres références (en dehors des projets surf-punk de Nasty Samy), elles sont bienvenues en commentaire.
Les Agamemnonz, carrément muets, font donc du surf rock (qui me semble être) classique. Guitares complémentaires et surtout remuantes, on s’imagine facilement deux cow-boys en slip de bain se trémoussant en guise de parade nuptiale. C’est en tout cas le sentiment que l’on peut avoir sur les deux premières pistes.
La suite est un peu plus en roue libre, rapidement, le groupe prend un ton plus grave et dégage une atmosphère inquiétante.
Dans ma tête, les cow-boys en slibard se disputent le même bikini fessard joli minois qui bronze sur la plage.
L’album ressemble alors à un combat de coq : observation, tentatives d’intimidation et finalement attaque.
Si les choses tendent à s’accélérer sur “A Palavas-les-flots” (ce n’est pas une reprise d’Anthony Dupray), le clash se joue sur “Brûlure indienne”, dont la chevauchée entre batterie et guitare a des allures de western épique.
Une bagarre qui finit en pétard mouillé (oui, on est toujours dans ma tête là) ?
“Au revoir” s’ouvre sur un feu d’artifice…mais poursuit par un titre où les guitares s’amusent toujours autant.
Il ne faut pas se le cacher, bien que les titres soient courts (dépassant rarement les trois minutes), on se lasse quelque peu du genre.
Bien que la production tente de diversifier les morceaux (plus ou moins de reverb’ avec un son à l’ancienne, des petits samples ça et là)…il faut attendre des morceaux qui offrent des passages épiques pour retrouver du plaisir à l’écoute de l’album.
Ça ne loupe pas sur “Marathon”, “Simon’s beat” (avec ses faux airs de “London calling des Clash), “Salma VI” ou le vibrant finish de “Tristes tropiques”…
Malgré quelques petites longueurs, on se prend au jeu de cette bande-son qui doit être sans égale…en France.
NB : Attention aux fans du groupe; ce disque n’est pas une véritable nouveauté, puisqu’il regroupe “Au revoir” et leur premier EP.

Les Agamemnonz “De A à Z” (CD, Green Cookie records, GC051, 2015)
MuzzArt (26 December 2015)

Groupe rouennais pratiquant le surf instrumental, inspiré par les Ventures et autres Astronauts, Les Agamemnonz proposent avec De A à Z l’intégralité de leur travaux. On retrouve donc les lp “Au revoir” et “Les Agamemnonz” et par là-même, une série d’instrus surf trépidants, superbement joués. Il y a dans De A à Z une fine énergie, un jeu subtil et alerte; la dialectique surf est maîtrisée, cela va sans dire. Un charme rétro émane en plus du tout, qui se fait parfois plus tranquille sans s’y abîmer (Yuruyusu).

C’est indéniable, les normands ont une identité propre. A Palavas les Flots fait dans l’hispagnolade soutenue, galopante. Les guitares de Benjamin Bonaventure et Simon Ripoll-Hurier s’entremêlent, se complètent avec panache, accompagnées par une section rythmique vive, au diapason. Les gars viennent jouer ce 28 décembre dans le coin, on ne les manquera pas; d’une part pour l’audace d’assurer une date en cette toute fin d’année, en substituant aux ennuyeuses fêtes de décembre une autre festivité, celle du live, et d’autre part pour l’originalité du registre. Dix-huit titres, au total, étant joués par le quatuor sur ce recueil uni. On n’en déplorera pas même le côté “tout instru”, il passe quand bien même on aurait apprécié l’inclusion de voix, même disséminées ici et là.
Au revoir impose ses roulements de batterie, Grands rapides voit celle-ci faire dans l’urgence, Schnell wie eine rakette plante de toute façon sans tarder le décor; ça joue, on avance à la passion. Le tout chez Kythibong, label lui aussi éloigné de toute orientation douteuse, et Green Cookie, pas moins authentique dans son action. A l’image des Agamemnonz, formation aussi fun que carrée dans le jeu, précieuse pour notre scène.

Les Agamemnonz “De A à Z” (CD, Green Cookie records, GC051, 2015)
Storm Surge of Reverb (11 December 2015)

I enjoyed Les Agamemnonz’s debut 10″. It had a good trad sound, a lot of very drippy reverb and a somewhat restrained energy that worked out well. They keep that up with Au Revoir, though they expand a bit. “Vulkanizer” (which really masters the thud from the Astronauts’ “kuk”) and “El Tremblador” are a bit more menacing than I remember from this band, and they pick up a wild west sound on the last three tracks. Tickling one of my favorite spots is “Tre Grazie”, a great take on the Peruvian chicha sound.
You’ve got some pretty alluring options about which version to buy. Green Cookie is releasing Au Revoir on vinyl (the cover art deserves it!) OR you could download or buy their new CD De A à Z which has both Au Revoir and their self-titled 10″ back to back.

Les Agamemnonz – De A à Z. Direttamente dall’olimpo vera surf-music da re!
In Your Eyes zine (30 November 2015) 8.5/10

Agamennone,ci narra l’Iliade,fu il comandante in capo dei greci durante la guerra di Troia,uomo intelligente e risoluto ma anche capace di diverse malefatte era spesso raffigurato considerevolmente somigliante a Zeus re degli dei,tanto da essere considerato re degli uomini.
Usando come ragione sociale un nome di così alta levatura questo quartetto francese si è sicuramente posto nella scomoda posizione di dover proporre qualcosa di veramente sontuoso. Evidentemente i nostri sono ben consci del proprio valore in quanto il loro surf strumentale è qualcosa di veramente elettrizzante. Questo Da A à Z riunisce in un solo cd le due prove sin qui registrate dalla band l’ellepì Au Revoir dell’anno in corso ed il 10″ omonimo del 2013. In tutto facendo vostro questo cd (e conto che lo facciate) potrete ascoltare diciotto pezzi fatti di suoni spaventosamente suadenti e,nonostante gli ovvi steccati del genere,notevolmente variegati. Secondo il mio sindacabilissimo parere i pezzi forti della raccolta sono la misteriosa Introduction (che contrariamente a questo possiate pensare non è la canzone d’apertura),la spagnoleggiante A-palavas-les-flots,la spedita Marathon (con tanto di devastante assolo d’apertura) e la ammaliante Simon’s beat (che con un atto di notevole paraculaggine dedico al boss di questa webzine). Se siete dei curiosi andatevi a vedere anche il video su Youtube che li ritrae splendidamente vestiti da achei durante una loro esibizione in quel di Rouen. Insomma qui di parole ne ho spese persino troppe,con Les Agamemnonz vi portate a casa,pronte per essere inserito nel vostro lettore, 18 fra le instro-surf song più valide che mi sia capitato di ascoltare in questo 2015. Chiudete porte e finestre,spegnete le luci,se siete dei viziosi stappatevi pure una birra o fumatevi un joint (l’una non esclude l’altra) e fatevi trasportare sulle onde di questa musica che è veramente,in questo caso più che mai,musica da re.

LOS DAYTONAS “Twang or Die” (LP) (REVIEWS)

Los Daytonas Twang Or Die 2018 Green Cookie records

Los Daytons “Twang Or Die / En El Salvaje Oeste” (CD, Sharawaji)

Great, traditional surf and hot rod music is what you’ll find on this disc. It’s not overly original – each of these tunes sound like they could have been pulled off any number of early 60’s surf records. However, sometimes originality isn’t what you need – you simply need a steady surf beat, heavy reverb on the guitars, occasional organ, reverb tank crashes and audio snippets pulled from the speedway. The topper here is that you not only get GREAT music – you get LOTS of it – in addition to the Twang Or Die full-length album, you get six bonus tracks (four from their En El Salvaje Oeste EP, and two additional bonus tracks). In total, that’s seventeen songs on one CD – great artwork as well! — Reviewed by Double Crown (May 2019).

– – – – – – – – – – – – – – –

Los Daytonas “Twang Or Die” (LP, Green Cookie records, GC058LP, 2018).

Green Cookie is a Greek surf label, Los Daytonas are a Spanish band that was founded in 1997. Based on this album (at least their fifth release), I would not describe it as a surf but as an all-round instrumental group.
Yes, Impostor is blubbersurf and Latinia is a surf cover of The Sentinels from 1962, but the other nine tracks are different: Abd El-Krim is a twangy version of The Shadows with a lot of percussion and Borracho is reminiscent of The Fireballs but turns out to be the Spanish group Los Brincos from 1964, and the short notes and the percussion that characterize those two songs prove to be the keywords of this record that combines many influences.
Spaghetti western! Spy! hot rod! El Loner and Mátalos Y Vuelve are western inspired, La Tapadera could have been in a James Bond movie (which reminds us: Sean Connery is the real James Bond, the others are actors!) and Kona Lei pulls with even more percussion (on on this album, castanets, vibraphone and marimba pass through) an unadulterated can of Tabou exotica. Even more variation: Big Rod (a cover of Big Cock by the Spanish rock band Sex Museum from 1987) couples that short twang with a guest organ and racing sounds from the Capitol LP The Big Sounds Of The Drags from 1963, and the guest -tenor sax and the voices in Oh Gregoria give a frolic dinner effect.
The album was recorded in the vintage Big Cheff Recording Service studio in their hometown Madrid and mastered by Axel Praefcke at Lightning Recorders in Berlin, resulting in an album with a very nice clear sound whose calm character is a breath of fresh air. Bravo and keep going, that’s how our schoolmaster used to write on our tasks. Remarkable: this is not out on CD but only on vinyl LP in a limited edition of only 300 pieces! — Reviewed by Frantic Franky, Boppin Around (18 October 2018)

LOS JAVELIN “Cocktail Caracas” (CD) (REVIEWS)

Review: Los Javelin “Cocktail Caracas”, Green Cookie records, 2018, CD
Musica Inclasificable, 28 May 2018.

No es ningún secreto el actual momento por el que atraviesa Venezuela y tan sólo basta con realizar un par de búsquedas en internet para darse cuenta de la complicada situación que viven todos sus habitantes, pero sin importar todo el caos imperante, la música siempre fluye.
Surgido en la capital, Los Javelin es el conjunto más representativo de música surf del país sudamericano y además uno de los más persistentes del continente porque desde el 2001 se mantiene en activo, además de que ha participado en compilaciones mexicanas como Exotic Erotic Reverb (2003) y Melodías Intoxicadas Vol. 3 (2008), pero ahora el conjunto tiene listo su segundo material que inclusive logró llamar la atención del sello griego Green Cookie Records, especializado en los sonidos instrumentales.
El trío conformado por Barracuda (bajo), Veneno (batería) y Dr. Staccato (guitarra) realizó una interesante combinación en los 8 temas que conformar su nuevo álbum porque pese a que la materia prima es la música surf, dentro de los elementos secundarios destacan los sonidos exóticos, el spaghetti western, el spy sound y una diversa gama de texturas que le brindan una mayor riqueza a su trabajo.
El disco inicia con “La Maraquita”, un fino y corto tema que muestra una alegre trompeta que sirve para dar paso a “Punkabilly Surfer”, canción que recuerda a las guitarras con twang de Los Straitjackets y que gracias a un elegante teclado invitado podría formar parte de la banda sonora de cualquier película protagonizada por James Bond.
Por su parte, en “El Toro” regresa la trompeta invitada y ahora se sienten ligeras referencias al quinteto español Los Coronas junto con algunos guiños a los sonidos árabes, mientras que “Luna de Margarita” es un homenaje a las viejas películas de ciencia ficción.
Más adelante aparece “Camino A Tijuana”, la cual se convierte en la composición más relajada del material al intentar recrear las atmósferas áridas que concibió Ennio Morricone para los filmes de Sergio Leone, mientras que para finalizar resalta la reinvención realizada a “Caramelo E Chocolate”, una pieza de salsa original del Sexteto Juventud y que se trata de una de las composiciones venezolanas más importantes de la década de los sesenta, pero ahora con un sonido completamente diferente.
De esta manera, pese a las adversidades políticas y sociales que enfrentan en su país natal, el trabajo de Los Javelin es un importante aliciente que demuestra que aunque la música no puede solucionar todos los problemas del mundo, sí es una importante medicina que alegra la vida y de la que todos necesitamos.

THE AKULAS “Rustines” (LP/CD) (REVIEWS)

one-sheet facebook contact/booking promo photo

GRAB YOUR COPY ★ CD: € 12.00 (shipping + digital download included)

★ digital album: € 8.00 ★ LP: € 15.00 + shipping costs (digital download included) ★

★ promos (digital download codes) upon request: Nikos

Schade. Ausgerechnet mit der schwächsten Nummer (David Axelrods „The Searchers“) als Intro sto2ern die Akulas aus Belgien in etwas, das ansonsten eine angenehme Sammlung von Hammond-getriebenen Surfinstros geworden ist.
Dass die Band mit Platten der belgischen Instrumental-Trasher Fifty Foot Combo aufgewachsen ist, bleibt jederzeit zu spüren, dennoch haben die vier mit ihrer üppig eingesetzten Orgelbegleitung einen eigenständigen Sound zwischen Bands wie den Tornados, den Tornadoes, Booker T.
Jones und den Ventures erarbeitet. Fünf eigene Songs stehen den neun Coversongs in wenig nach, die vier haben durchaus eigene Ideen und gehen auch weg vom Allerwelts-Surf-Geschepper in Richtung Exotica/Tiki-Sounds.
Beim swingenden „Party in suburbia“ bedienen sie sich dabei ganz ungeniert am Basslauf von QUICK in „Bert’s apple crumble“. Ihren Landsleuten von der 50 Foot Combo wird mit dem nachgespielten „SL 54 automatic“ Tribut gezollt, ebenso dem belgischen Hammond-König Andre „Early Bird“ Brasseur, dessen „Special 230“ neu arrangiert aufgenommen wurde.
Ein rundes Debüt, dem nach dem rumpeligen Start niemals die Puste ausgeht.

8/10 Gereon Helmer, OX fanzine #131 (April/May 2017)

We krijgen veel releases binnen die de Jaren 70 en 80 willen doen herleven of er op zijn minst hun mosterd hebben gehaald. Van tijd tot krijgen we er ook die het nog verder terug in de tijd zoeken. Zo ook met de Gentse band The Akulas die met hun muziek de sound van de sixties surfmuziek doet herleven. Veertien instrumentale liedjes, waarvan deels covers, vol met reverb en twang gitaarlijnen, zwierige orgels, wandelende baslijnen en vintage drums.
Zegt je dat iets dan moet je dit zeker eens uitproberen. Het is goed gemaakt, ideaal om erop te dansen en het klinkt zoals het moet klinken. Erg vintage, een beetje voorspelbaar natuurlijk maar op zich vormt het geen struikelblok. Ze zijn bezig sedert 2005 en ze speelden al op verschillende festivals in Nederland en België (o.a. North Sea Surf Festival in Amsterdam en Rockabilly Day in Assenede). Alles gehuldigd in een mooie smaakvolle jaren zestig cover wat het plaatje compleet maakt.

Wim Guillemyn, Musiczine (02.03.2017)

Gracias al interés por mostrar las distintas propuestas de música surf que surgen alrededor del mundo, el sello griego Green Cookie Records desde hace años se ha especializado en el campo instrumental y contra todos los obstáculos y crisis económicas, continúa con su labor. El lanzamiento más reciente de la disquera es el primer álbum de The Akulas, una joven banda  que buscar consolidar el nombre de Bélgica en el terreno de los sonidos reverberados.
A pesar de que históricamente, al menos en el rubro musical, la nación belga es conocida por su aportación en la década de los ochenta a la música electrónica con el llamado new beat que fue contemporáneo del techno de Detroit y el house de Chicago, en años recientes la apertura hacia a otros géneros ha hecho que estilos como la música surf empiecen a despuntar, al menos a nivel subterráneo.
Algunos ejemplos de lo anterior son agrupaciones como Fifty Foot Combo, The Moe Greene Special, Speedball Jr., Los Venturas y The O’Hara’s. Ahora a todos los nombres anteriores hay que sumar el de The Akulas, un cuarteto formado en el 2005 en la ciudad de Gante y que después de haber grabado un EP, inicia este 2017 a tope con el lanzamiento de su primer álbum.
Como principal característica destaca desde un inicio el trabajo de Benjamin en el órgano, quien admite estar influenciado por el viejo sonido del hammond que distintas agrupaciones le imprimieron a sus composiciones en los sesenta así que a su manera y con un toque personal, busca que los temas de la banda contengan el mismo groove.
En 14 piezas que incluyen tanto composiciones propias como versiones de otros músicos, el cuarteto se adentra en el mood psicodélico de los ropajes coloridos, las mujeres con elegantes vestidos y todo el peace and love que, por ejemplo, hace algunos años popularizó y parodió Mike Myers con su trilogía de Austin Powers.
Mientras que en “Holiday Panic” lo que más llama la atención son unos bongos que le imprimen diversión a la canción, en el tema homónimo del material destaca la guitarra llena de reverb que juguetea con el hipnótico teclado y crea una mescalina sonora capaz de fulminar a todos los oídos que se le atraviesen. Por la parte de los covers, que son bastante numerosos, uno que no se puede ignorar es el que hacen en “SL-54 Automatic” a sus compatriotas Fifty Foot Combo, con una inquieta batería que pareciera querer imitar el misticismo de una jungla.
Con ligeras reminiscencias al trabajo de bandas contemporáneas como The Huntington Cads, Laika & The Cosmonauts y The Martini Kings, el cuarteto europeo le supo impregnar elegancia a su sonido que, sin problema, podría musicalizar cualquier película de espías del mundo. Al final, el resultado es la primera joya imperdible de música surf de este joven 2017.

Musica Inclasificable (31.01.2017)

Gent Die Scone hebben wij naar analogie met andere steden als Eindhoven Rock City en Breda Suck City ooit horen omschrijven als Surf City wat erop neer kwam dat er drie surfbands actief zijn/ waren: Fifty Foot Combo, Speedball Jr. en The Revelaires. We vermoeden dan ook dat ook die term door de bands zelf is gelanceerd (wij verdenken Jenz DW), maar nu blijkt er op de Leie al die tijd in de maalstroom van het succes van genoemde bands nog een andere band gesurft te hebben, The Akulas, al opgericht in 2005 en met uiteraard een hoop Fender Jaguars en Jazzmasters en Bassman 100s en Dual Showmans en Fender reverb tanks in het tourbusje maar pas in 2011 na de toevoeging van orgel zijn huidige definitieve bezetting gevonden hebbende, getuige hun titelloze 5-track demo uit 2012, ook uit als vinyl-EP.
The Akulas spelen surf, ja, maar gekruid met diverse invloeden als een horror kerkorgel in de cover Cemetary Stomp van The Essex uit 1963, easy tune in de André Brasseur cover Special 230 uit 1965 en een hoop exotica – exotica zoals in Arthur Lyman, niet zoals in Vegas Grind – in hun eigen Taboo/ Misirlou variatie L’Amour Chaud, dat alles overgoten met een Booker T groove. De twangy surf leadgitaar wisselt de melodie af met het orgel terwijl beiden melodielijnen spelen en elkaar netjes aanvullen en afwisselen en ook de basgitaar regelmatig haar eigen lijntjes pompt, het geheel overgoten met bongo’tjes en doorweven met referenties en vette knipogen naar surfklassiekers: het eigen Holiday Panic gebruikt de Wipe Out drumbreaks om ergens totaal anders uit te komen en de Carol K(aye) & the Hitmen cover The Searchers uit 1965 koppelt de riedel van Out Of Limits aan een western achtervolging.
Rustines bevat vijf eigen composities + negen covers en het is in die covers dat je een goed beeld krijgt van waar The Akulas voor staan: de twee bekendste, Man Of Mystery van The Shadows en Crossfire van Johnny & the Hurricanes, krijgen een complete make over, de overige komen uit heel diverse hoeken uit de eerste helft van de jaren ’60: onbekende surf (Moon Shot van Kenny & the Fiends uit 1964), Telstar orgeltjes als Le Sang Du Soleil van Les Relax (F) uit 1964 en filmmuziek (The Mafista van Neal Hefti van zijn Batman Theme And 11 Hefti Bat Songs LP uit 1966, het nummer komt niét voor in de TV reeks), misschien allemaal net geen surf maar wel met succes door de Akulas mallemolen gedraaid. Komt deze stortvloed aan invloeden chaotisch over? Net niet, want het resultaat zijn aanstekelijke instrumentals op maat geknipt van wie Fifty Foot Combo (wier SL-54 Automatic hier trouwens wordt gecoverd) wel goed maar te hard vindt, al blazen The Akulas live ongetwijfeld het dak eraf wat u zelf kan checken op zaterdag 4 maart tijdens de release party in de Charlatan in Gent (B). Let op: de CD verschijnt op amper 300 exemplaren en er zijn ook 300 vinyl exemplaren (GC055LP) beschikbaar.

Frantic Franky, Boppin’ Around magazine (26.01.2017)

LES AGAMEMNONZ: “Les Agamemnonz” 10″ (REVIEWS)

Les Agamemnonz Surf! live @ Lundi du Kalif (ROUEN) - 15/10/2012 #1

Les Agamemnonz “Les Agamemnonz” (10″, Green Cookie records, GC037, 2013)
Part Time Wizards (16-12-2013)

60’s surf revival is solidly established in Southern California – cornerstone of the surf and psyche sound spirit for some time – with bands like Allah-Las, Growlers and the Mystic Braves.
Les Agamemnonz are the proof the contagion has spread to France. The band hail from Rouen and have just released an 8-track LP vinyl on greek label Green Cookie. 8 instrumental surf songs that will bring natural sun, waves and hot winds to your electrically-heated living-room this winter. Here is “Apollo”, a terrific boost for your winter activities, paradoxically.

Les Agamemnonz “Les Agamemnonz” (10″, Green Cookie records, GC037, 2013)
Joe Wildthing, Wild Thing (24-11-2013)

Λοιπόν ας πάρουμε τα πράγματα με τη σειρά. Οι εν λόγω «Μένιοι» δεν είχαν υποπέσει προηγουμένως στην αντίληψή μας, αλλά έχουν τα εξής ενδιαφέροντα χαρακτηριστικά: (α) Αν και ντύνονται (επί σκηνής) αρχαίοι Έλληνες, είναι Γάλλοι, από τη Νορμανδία – όχι, την απόβαση εκεί δεν την έκαναν οι Μυκηναίοι εξ όσων γνωρίζουμε τουλάχιστον, οι Αμερικάνοι την έκαναν, οπότε να υποθέσουμε ότι απλά τους αρέσουν τα toga party; Πολύ πιθανό, είναι και βολικά. (β) Παίζουν surf instrumentals και μάλιστα πολύ καλά. Τελικά πρέπει να είναι πολύ cool τύποι. Ή πολύ βλαμμένοι. Και στις δύο περιπτώσεις πάντως μας κάνουν, γιατί αυτό που παίζουν είναι κάτι με το οποίο κολλάμε συνήθως, όταν ανασύρουμε τα σχετικά βινύλια από τα σκονισμένα μας ράφια. (σσ. Σκεφτείτε λίγο, είναι δυνατόν να παίξετε στο πικάπ σας λ.χ. κάποιο δισκάκι Ventures και μετά να αλλάξετε ήχο στο πρόγραμμα ακρόασής σας; Νομίζω ότι είναι περίπου αδύνατο.) Οι Agamemnoz είναι μάλιστα καλοί παίκτες και εφευρετικοί συνθέτες – για ακούστε λ.χ. εδώ τα εξαιρετικά “Salva VI” και “Tristes Tropiques” – οπότε σε κερδίζουν εύκολα. Η δε καθ’ ημάς Green Cookie Records κυκλοφορεί το δίσκο τους σε περιορισμένη έκδοση (350 αντίγραφα) 10ιντσου βινυλίου, οπότε θα γίνουν και συλλεκτικοί.

Ο προπατορικός Μένιος είχε κακό τέλος. Ελπίζουμε ακριβώς τα αντίθετα για τούτους εδώ.